Mais le souci c’est que nos problématiques mentales commencent toujours par un « Je ne sais pas ».
Je ne sais pas ce qu’il m’arrive
Je ne sais pas ce que j’ai
Je ne sais pas pourquoi je suis comme ça
Je ne sais pas
Bonne nouvelle, quand on ne sait pas quelque chose, ça veut dire qu’on peut apprendre.
Et moi je vous propose de vous apprendre à apprendre de vous et de votre problème.
Apprendre à vous le représenter, le voir, le toucher. Pour pouvoir agir concrêtement dessus.
Avec l’aide de l’écriture, du dessin, de l’hypnose conversationnelle et de mon expérience en questionnement.
J’ai mis en place cet accompagnement parce qu’il m’a beaucoup apporté et permis de vivre enfin sereinement même dans le chaos que peut parfois être la vie.
Ayant fréquenté de nombreux psychologues et hypnothérapeutes dans une quête de changement, j’ai pu me rendre compte que je passais mon temps à tenter de corriger un symptôme en voulant changer tout ce que j’étais. ERREUR !
Puis je me suis rendu compte qu’en passant mon temps à vouloir changer, je n’apprenais pas à mieux me connnaitre.
Faire avec ce que j’avais déjà sous la main en quelque sorte.
Alors j’ai utilisé mon passé de créatif lié à l’apprentissage de l’hypnose et du questionnement pour m’explorer.
Cette exploration m’a permis d’apprendre à mieux me connaitre et ça a tout changé !
Aujourd’hui je veux partager les bienfaits de cette exploration qui ne cherche pas à simplement résoudre un problème mais à faire en sorte que ce problème soit mieux connu, mieux exploité.
N’est ce d’ailleurs pas la poésie qui revient à chaque conflit et guerre ? Comme pour trouver des mots, des images qui permettent de vivre mieux avec l’injustifiable ?
Parce que ce gribouillage, on peut l’emmener avec soi.
On peut le mettre sur son bureau. l’observer. Réfléchir à son sujet. On peut l’utiliser pour parler avec des amis, de la famille, des psychologues, des accompagnants.
Parce que le gribouillage va parler d’une émotion et raconter son histoire !
Parce que là ou avant il y avait un « je ne sais pas », il y a maintenant quelque chose.
Ce n’est pas de l’art thérapie pour autant. Mon travail ne consiste pas à canaliser ou panser une émotion temporairement.
Il consiste à faire émerger une poésie de la plainte que vous avez et par cette poésie, commencer à changer votre regard au sujet de votre plainte.
Imaginez vos émotions comme une forêt.
Selon les points de vue, la forêt peut-être effrayante. On peut s’y perdre, mourir de faim, être mangé par un prédateur, y attraper une maladie… Il pourrait être tentant de raser la forêt pour ne plus la subir et pour ne pas en avoir peur.
Mais en faisant cela, on se prive des ressources de celle-ci. On enlève sa beauté, sa vie, sa richesse.
Sans la forêt des émotions, il ne reste que le désert.
Vous pouvez aussi choisir d’habiter la forêt des émotions.
En commençant par y construire un abri confortable pour vous y reposer. Puis en commençant à explorer pour être familier avec elle.
Apprendre où sont les ressources pour y vivre. Apprendre ce qui peut vous faire du mal et apprendre à soigner ce mal.
Apprendre à y être confortable pour pouvoir profiter de ses richesses au fur et à mesure que vous l’explorez.
Cette citation issue du film « Avengers » est revenue à moi quand j’ai commencé à suivre une formation en expert du changement.
En appliquant les exercices et en y mélangeant ma pratique de l’hypnose et du dessin. Je me suis rendu compte que j’apprenais à mieux me connaitre.
Et en me connaissant mieux, j’acceptais beaucoup plus facilement mes travers, mes défauts, mes émotions.
À la fin de ma formation, je me sentais bien mieux dans la vie.
Je me suis demandé si j’avais enfin changé, si j’avais enfin réussi à me dépasser pour ne plus être moi mais un autre….
Non, j’étais toujours le même SAUF que j’avais appris de ça et surtout:
c’était devenu confortable d’être moi.
Est-ce que je suis toujours angoissé dans la vie ? Oui, mais c’est devenu confortable.
Est-ce que j’ai toujours peur de ne pas être à la hauteur ? Oui, mais c’est devenu confortable.
Est-ce que j’ai toujours une anxiété sociale ? Oui, mais c’est devenu confortable.
Ancien directeur Artistique freelance (quoique…parfois je m’y remets), ancien directeur pédagogique, ancien prof de design et d’histoire de l’art, artiste, auteur, praticien en hypnose, accompagnant.
Papa d’un petit garçon
Propriétaire d’un gros chat (à moins que ce ne soit l’inverse)
Fan de piment. Si un jour la vie va mal sans trop savoir pourquoi, je recommande de croquer dans un piment pour penser à autre chose rapidement (et savoir pourquoi ça ne va pas).
Si je devais définir pourquoi j’ai décidé de devenir un professionnel de l’accompagnement en une phrase, je la piquerais à MC Solaar.
« Un p’tit qui a voulu que la vie d’autrui soit comme une poésie »
L’hypnose a été pour moi l’accompagnement le plus puissant que j’ai rencontré dans ma vie. Non pas parce qu’elle a résolu des problématiques en un coup de baguette magique (ce n’est pas comme ça que ça marche) mais parce qu’elle m’a permis d’apprendre à mieux me connaitre.
Cette connaissance de moi a changé ma vie en m’autorisant à être qui je suis et à me sentir mieux en vivant avec les autres.
Je crois que le changement ce n’est pas devenir quelqu’un d’autre mais plutôt « faire avec qui on est ».
C’est dans cet esprit que j’accompagne depuis plus de 3 ans des personnes à s’explorer et par là même, pouvoir s’autoriser à changer.
Je dessine certaine séances d’hypnose depuis le début de ma pratique.
J’en ai fais un ouvrage pour faire de la pédagogie sur l’hypnose et pour rendre visible un travail invisible qui se fait en cabinet (dans le respect de l’intimité des hypnotisés).
Les séances se déroulent dans mon cabinet situé à Rennes ou à distance via le logiciel Zoom :
Le cabinet se situe au 8 rue du sapeur Michel Jouan 35000 rennes – M° Mabilais mais la découverte et l’exploration peut se faire à distance.
Les séances d’exploration durent entre 45 min et 1h15.
© Arthur Grosjean – tous droits reservés –Politique de confidentialité & Mentions légales